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#Congé paternité : 3 questions à Michael Baumberger

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Tu as été l’un des premiers papas chez Losinger Marazzi à prendre un congé de paternité prolongé de quatre semaines. Comment l’as-tu vécu ?

Cela a été une période formidable et unique, à côté de laquelle je n’aurais vraiment pas voulu passer. J’ai mis ce temps à profit pour faire la connaissance de mon fils Mateo et tisser un lien avec lui. Être proche de son enfant est très important, en particulier durant les premiers temps. Et j’en ai également profité pour alléger le quotidien de ma femme et lui permettre d’endosser son nouveau rôle de mère. Je lui ai préparé de savoureux petits plats, je me suis adonné aux tâches ménagères et j’ai changé les couches de Mateo, ce qui lui a donné la possibilité de reprendre des forces après la fatigue de l’accouchement.

 

Quels sont selon toi les autres avantages d’un congé de paternité de quatre semaines ?

En quatre semaines, on a le temps de trouver ses marques et de s’organiser au sein de la famille redessinée. Cette période permet aussi de reprendre le travail en douceur. J’ai réparti mes jours de congé de paternité des troisième et quatrième semaines sur quatre semaines, en travaillant des demi-journées. Mon objectif était d’offrir une flexibilité accrue à ma famille tout en évitant d’être totalement absent de mon travail pendant trop longtemps. Les pères (et mères) qui ont réussi à faire face à cette période si palpitante en prenant un congé plus court ont tout mon respect.

 

Depuis, qu’est-ce qui a changé de ton côté ?

J’ai réduit mon temps de travail à 80 %, ce qui nous permet d’organiser notre vie de famille avec davantage de souplesse et de mieux concilier vie professionnelle et vie privée. Et finalement, je pense que nous avons trouvé l’équilibre parfait. 

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